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Kenneth Cook, À toute berzingue

«PISTE D'OBIRI. DANGER. D'ICI À OBIRI, LA CHALEUR,LES SABLES MOUVANTS ET AUTRES DANGERS RENDENT LA TRAVERSÉE EXTRÊMEMENT PÉRILLEUSE. EN CAS DE PANNE, N'ABANDONNEZ JAMAIS VOTRE VOITURE.»

Katie et Shaw se connaissent depuis vingt-quatre heures à peine. Pourtant, entre eux, c'est déjà «à la vie, à la mort», au sens propre du terme. Coincés dans une petite Honda lancée à toute berzingue sur la piste d'Obiri - six cents kilomètres de fournaise et de poussière au cœur de l'outback australien -, ils sont poursuivis par une monstrueuse créature prête à tout pour les éliminer. Doivent-ils rebrousser chemin et affronter leur assaillant? Ou continuer leur course folle sur cette piste qui semble mener droit en enfer?

Nous étions en mars. La température extérieure atteignait les quarante-six degrés. Le sable était tellement blanc, tellement décoloré par la furie du soleil, que même mes lunettes de soleil très sombres ne me protégeaient pas de l'éblouissement.

J'ai été complètement pris par ce court roman au suspense haletant, avec des relents hitchcokiens mais qui rappelle aussi un peu Maupassant. Et. à titre personnel, ma traversée du Tanezrouft, en plein été 1989… il y a donc trente ans!

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  • Dernière modification : 2019/08/03 17:19
  • de radeff